A la vie
Il n’est plus de brouillard dans ma nuit
Plus d’espoir à bercer vers de faux lendemains
Ainsi s’achève notre temps à l’écart de l’ennui
Loin du carrefour du hasard où s’amorcent les chemins
Dois-je m’étaler sur les méfaits du soleil bleu
Sur cette extase qu’une peur subite balaie d’un coup
Ou retenir tous les moments du vivant feu
Quand l'avenir semblait sans coût
Il n’est rien à dire ni à pleurer
A retenir ou effleurer
J’ai été si lamentable
A présumer d'un grain de sable
très beau
RépondreSupprimerBisous
Merci.
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